Polynésie Française Galerie Photos
Accueil :
La Polynésie française est célèbre pour son accueil et ce n’est pas qu’un mythe. Dès la sortie de l’avion, sur le tarmac, un groupe de musiciens et de danseuses tahitiennes te saluent. Tes hôtes te remettent chaleureusement de très beaux colliers de fleurs fraîches à ton arrivée, et la version coquillage lors du départ. Tout le monde te dit bonjour, ‘Ia orana’ en tahitien, et te tutoie. C’est super convivial et simplifie les échanges.
Merci à toute la famille Luciano pour leur accueil chaleureux et familial pendant ces 3 semaines passées chez eux à Tahiti !
Aéroport :
Même sur les îles paradisiaques, on trouve les mêmes prestations que partout ailleurs : un parking pour les véhicules, une salle d’attente couverte, une aérée pour les fumeurs, un hall d’embarquement, un hall d’arrivée, une vue sur la campagne environnante, un tarmac. Voir ci-dessous l’aéroport de l’île de Maupiti !
Archéologie :
Les anciens peuples polynésiens étaient de tradition orale, et non écrite. La transmission se faisait par les conteurs, et dans chaque famille, de générations en générations, jusqu’à l’arrivée des blancs et des missionnaires qui ont beaucoup oeuvrer pour éliminer ces processus. De nos jours, les traces les plus visibles des activités cérémonielles, sociales et religieuses des anciens polynésiens sont les marae. Ils formaient des monuments imposants, dont la conception et la construction variaient d’une île à l’autre. L’architecture de base comprenait généralement une aire rectangulaire, la cour du marae, pourvue d’une plate-forme (ahu) à l’une des extrémités et d’un ensemble des pierres dressées.
Le marae de Ra’iatea (Taputapuatea) était un des plus grands et des plus influents des iles de la Société.
Le marae de Maupiti
Les Tikis sont des statues omniprésentes en Polynésie française. Ces représentants des dieux ou de génies sont là pour protéger les habitants ou éloigner les mauvaises énergies. On les retrouve aussi dans les tatouages, et sous l’eau à Moorea, gravés et posés au fond du lagon par un artiste dans les années 90. C’est excellent une visite de site culturel en kayak et masque/tuba !
Les pétroglyphes sont des dessins symboliques gravés sur de la pierre :

Boissons :
On en trouve plein d’excellentes ! A base de fruits frais, comme celles issues de la brasserie Rotrui à Moorea, de rhums (avec ou sans mille-pattes, bruts ou avec aromes), de bières, il y en a pour toutes les soifs !
Mention spéciale pour la noix de coco ramassée par terre, ouverte par soi-même au prix d’un long et gros effort, et bue à même le fruit ! Un régal pour Jonas, et pour les grands avec un peu de vodka-fraise …
Bora-bora :
Nous nous sommes juste posé sur la piste d’atterrissage de cette île si célèbre, mais les vues d’avion sont si magiques qu’on ne pouvait pas ne pas en parler.
D’autant plus que la plupart des images de Tahiti que l’on nous donne habituellement dans les reportages, sont en fait le plus souvent issues de Bora-bora ou de Maupiti, car il n’y a pas de lagon autour de l’île de Tahiti.
Désolé pour la qualité des photos, mais les hublots des avions sont souvent très sales …

Clara :
Clara est la cousine de Jonas. Elle a 9 ans comme lui et l’a accueilli dans sa classe pendant 6 jours en lui présentant ses copains et ses copines. Lors d’une randonnée dans la vallée de Papenoo, Clara nous a accompagnés avec toute sa bonne humeur ; une vraie aventurière qui n’a peur de rien.
Depuis un an et demi, elle pratique la danse tahitienne. On a pu participer à un de ses cours et voir qu’elle se débrouillait aussi bien que les tahitiennes. Lors de notre dernière soirée, elle a même réussi à nous faire tous danser et nous apprendre les pas de base. Malgré la qualité de notre professeur, nous n’avons pas été de très bons élèves. Difficile de bouger le popotin sans bouger le haut de notre corps !
Cascades :
A Tahiti, il n’y a pas de lagon, mais l’intérieur de l’île est à couper le souffle, avec ses montagnes, ses vallées encaissées, et ses milliers de cascades. Nous en avons fait un petit tour :
Un autre type de curiosité, c’est le trou du souffleur. Les vagues viennent s’éclater avec force contre une falaise, dont une grande cavité débouche par un puit vertical quelques mètres au-dessus à côté de la route. Quand l’air dans la cavité est prisonnier des vagues, il sort à très forte pression par le puit. Ça décoiffe !

David :
Le papa de la famille Luciano. Il nous a initié, avec pédagogie et mise en confiance, au snorkeling – plongée avec masque et tuba – et au paddle stand-up. On a adoré. Il a aussi partagé avec nous tout son savoir sur le monde marin et sous-marin. David est aussi motard et a régulièrement emmené Jonas en ballade, dont le large sourire en disait long.
La veille de notre départ, on a eu la grande chance de visiter la base navale de Papeete sur laquelle il travaille en tant que Maître principal, responsable de la maintenance et pompier, et de monter sur le Bougainville, navire tout neuf de la marine nationale. Jonas était aux anges et nous aussi. Maururu David !

Ecole :
Après accord du Ministère de l’éducation de Tahiti, les inscriptions à la mairie et la visite médicale, Jonas a eu la chance d’intégrer la classe de CM1 de l’école de Mahina pendant 6 jours. Quel bonheur pour lui de retrouver la vie collective, un « vrai » maître et surtout des copains. À lire dans le coin de Jonas.
Emma :
Demi-sœur par alliance d’Alain, a été une hôtesse hors pair. En plus de nous accueillir chaleureusement dans sa maison, elle nous a préparé nos excursions sur les îles alentours et nos ballades et visites sur Tahiti. C’est la meilleure ambassadrice de la Polynésie française ! Combien est-ce agréable de se laisser guider pendant ces 3 semaines ! On s’est senti en vacances en famille, et c’est cela, le grand luxe pour nous. Un grand merci affectueux. On espère pouvoir vous accueillir à la maison.
Fleur de Tiaré :
Le tiaré pousse partout, et les fleurs éclosent de l’arbuste tous les jours de l’année. Alors les polynésiens, hommes et femmes, en portent une sur l’oreille, fraîchement cueillie, tous les jours, bien éclose pour les femmes, plutôt fermée pour les hommes. Selon le côté où elle est portée, la signification est différente : à gauche, en couple, à droite, disponible. Des 2 côtés ? à voir … 🙂 !
C’est bien évidemment la base de fabrication du monoï.
Graffiti :
Le festival international d’art urbain contemporain ‘Ono’u’ se déroule sur Tahiti et Raiatea depuis plus de 3 ans. Il accueille des ‘stars’ mondiales du graffiti et street-art.
Des fresques magnifiques sur des bâtiments urbains décorant la ville, et amenant l’art à la portée et la vue de tout le monde. Superbe !

Hinano :
La brasserie locale tahitienne. Son logo est même devenu un des symboles de l’île !
Blonde ou ambrée, juste sortie de la glacière, allongé dans l’eau limpide et tiède du lagon, protégé des rayons du soleil par l’ombre d’un cocotier ou d’un bateau, elle participe aux bonheurs de certains moments !
A boire avec modération, bien entendu, soit pas comme les tahitiens qui peuvent en boire une douzaine de pintes dans la journée sur la plage, en écoutant de la musique sortant d’une enceinte 100W posée à l’arrière du pick-up garé au bord de l’eau !

Ia Orana :
‘Bonjour’ en tahitien. Se prononce ‘Iorrrrana’, en roulant bien les ‘r’.
Inondations :
La pluie est une activité météorologique quasi quotidienne en été, sauf quand la famille Cléon-Magne a programmé à l’avance une sortie.
Les eaux d’écoulements rapidement diluviennes montent à une vitesse incroyable, s’incrustent partout, et bougent tout sur leur passage, générant beaucoup de dégâts dans les maisons, routes, chemins de randonnées, etc ….
Elles créent du lien social avec les voisins de la résidence, c’est évident, mais aussi beaucoup d’anxiétés, et de nuits blanches.
Nous avons pu vivre quelques-unes de ces journées et nuits angoissées, où la pluie tombe sans discontinuer, heureusement pour nos hôtes sans dégâts ces fois-ci.
Iti-Tahiti :
Presqu’ile de Tahiti, aussi nommée Taiarapu. Impossible d’en faire le tour, car les 2 routes au sud et au nord s’arrêtent en plein milieu, laissant à chaque fois des impressions de bout du monde.
Au sud, se trouve la célèbre vague de Teahupo’o, sur laquelle chaque année, les meilleurs surfeurs mondiaux s’affrontent à leur risque et péril.

Jardin de corail (voir lagon) :
Lieu magique où vivent couleurs, poissons et coquillages. Nous en avons visité à Moorea et Tahaa, c’est une expérience extraordinaire à chaque passage.
Kayak (et paddle) :
Activités hautement sportives, qui font travailler certaines parties du corps qui n’en ont manifestement pas l’habitude, au vu des douleurs du lendemain …
Mais sur le moment, un fois qu’on a pris le coup, c’est très agréable et amusant.
C’est en kayak que nous sommes allés visiter les tikis sous l’eau du lagon de Moorea.

Lagon :
Un lagon est une étendue d’eau de toutes les nuances de bleu et de vert qu’il est impossible d’imaginer sans les avoir vues sur place. L’eau peut y être tellement chaude que la bouteille de bière s’y réchauffe très vite. A quelques centimètres de profondeur, on peut y apercevoir d’autres milliers de couleurs sous forme de coraux, coquillages et poissons divers. Nous ne sommes pas certains qu’on puisse s’en lasser … 🙂
Légende :
Les Polynésiens croient beaucoup dans les légendes transmises par tradition orale de génération en génération. Sur l’île de Maupiti, Ludo et Moyra, les propriétaires de la pension où nous étions, nous en ont raconté plusieurs.
On leur a demandé si des écrits sur toutes ces légendes existaient. Malheureusement non, car pour chaque légende cohabitent plusieurs versions et les habitants de l’île n’arrivent pas à se mettre d’accord sur une version officielle à publier pour leurs descendants. Dommage ! On peut cependant en lire quelques-unes sur le site Tahitiheritage.pf, ou en découvrir dans le très beau dessin-animé Vaiana, la légende du bout du monde.
Suite à venir bientôt …
whaou !!! Je suis très émue par ce début de résumé !!! Merci !!! Je suis contente d’avoir partagé mon petit coin de paradis !!! A très bientôt !!! Bisous a vs 3
J’aimeAimé par 1 personne
Je trouve que bonjour en tahitien ressemble fortement à la fin de mon prénom non? ‘Ia orana’? Laurana? On y est presque. 😉
Tout à l’air magnifique et magique. Gros bisous à vous 3.
J’aimeAimé par 1 personne
C’est effectivement grâce à ton prénom que j’ai mémorisé le « bonjour tahitien ». Gros bisous. Sandra
J’aimeJ’aime
Coucou
Plus votre voyage avance plus vous nous faites rêver ! On a hâte de lire la suite ! Gros bisous
J’aimeAimé par 1 personne
C’est pour bientôt pour vous… Patiente 😀
J’aimeJ’aime
Ça fait du bien de vous lire et de rêver devant vos photos, alors que nous sommes en plein mois de mars avec son lot, ici, de giboulées, de vent, de nuages gris… qq beaux clichés de bière aussi qui pourraient inspirer de belles campagnes chez nous;-)
Profitez bien! Hâte de lire la suite!
J’aimeAimé par 1 personne
Contente de vous voir et de vous retrouver! Et de partager ces paysages et ces moments magiques ! Ca fait rever et on en a besoin ici avec cette campagne présidentielle ubuesque qui elle ne fait vraiment pas rêver si vous saviez… Profitez en!! Bises
J’aimeAimé par 1 personne
Encore de très belles photos…Anaïs va adorer les photos des graffitis.
Vous êtes très beaux, bronzés, radieux…la vie est belle et vous en profitez au maximum
Bisous
J’aimeAimé par 1 personne
Merci ! Bisous à tous aussi
J’aimeJ’aime